Outre la table de sa Majesté, il y avait plusieurs tables pour les seigneurs et les personnes de considération, qui n’avaient pas été nommées pour la table du Roi. Il y avait aussi des tables pour les personnes de la suite du Roi, pour les gardes-du-corps, les pages, etc. […] La salle était remplie de personnes de la première considération qui étaient entrées par des billets, des officiers des gardes-du-corps, du premier gentilhomme de la chambre de M. le duc de Gesvres. […] Tout cela fut beau et plaisant : mais la grande excellence qui se vit les jours de mardi et jeudi, fut la musique de voix et d’instruments la plus harmonieuse et la plus déliée qu’on ait jamais ouïe (on la devait au goût et aux soins de Baïf) ; furent aussi les feux artificiels qui brillèrent avec effroyable épouvantement et contentement de toutes personnes, sans qu’aucun en fût offensé ». […] Le même jour la princesse honora pour la seconde fois de sa présence l’opéra ; elle était placée comme la première fois, et les mêmes personnes eurent l’honneur d’être admises à l’amphithéâtre : on joua l’opéra d’Issé sans prologue, et à cette représentation parut une décoration qui venait d’être achevée sur les desseins et par les soins du chevalier Servandoni.
On avance ici une proposition que l’expérience seule ne nous a pas suggérée ; elle nous a été confirmée par des personnes sages et instruites, dont aucune nation ne peut récuser le suffrage.
Tout cela c’est un songe ; et, s’il est permis de joindre une critique à notre analyse, nous ne savons vraiment pas pourquoi le jeune Sicilien n’est pas descendu en personne dans ces grottes de féerie, que le décorateur anglais a parées de tant d’opulence.
« Que Carlotta Grisi dansât parfaitement ses pas, cela n’était douteux pour personne : elle est à présent la première danseuse de l’Europe ; mais on aurait pu craindre que les scènes dramatiques et violentes du livret, conçu tout en pantomime, ne convinssent pas à sa nature simple et poétique.
Cette divinité paroît sur un nuage au moment où Oreste enlève la statue ; contente du sacrifice qui vient de lui être fait du barbare Thoas ; elle ordonne qu’on la transporte dans l’Attique, que l’on y conduise les personnes attachées à son culte et particulièrement Isménie, qu’elle daigne choisir pour remplir les premières fonctions du sacerdoce.
La pauvre enfant, toute rose de honte et de plaisir, se laisse embrasser par Bathilde, sans se douter qu’elle est la rivale d’une si fière personne, inondée de velours et ruisselante de pierreries.
A Rome et dans toute l’Italie, plusieurs troupes de jeunes citoyens des deux sexes sortaient de la ville au point du jour ; elles allaient en dansant au son des instruments champêtres, cueillir dans la campagne des rameaux verts ; elles les rapportaient de la même manière dans la ville, et elles en ornaient les portes des maisons de leurs parents, de leurs amis ; et dans les suites, de quelques personnes constituées en dignité.
de Cahusac sur la danse est aussi nécessaire aux danseurs, que l’etude de la Chronologie est indispensable à ceux qui veulent écrire l’histoire ; cependant il a été critiqué des personnes de l’art, il a même excité les fades plaisanteries de ceux qui, par de certaines raisons, ne pouvoient ni le lire, ni l’entendre.
Le Traité de Mr. de Cahusac sur la Danse, est aussi nécessaire aux Danseurs que l’étude de la Chronologie est indispensable à ceux qui veulent écrire l’Histoire ; cependant il a été critiqué des Personnes de l’Art, il a même excité les fades plaisanteries de ceux qui par de certaines raisons ne pouvoient ni le lire, ni l’entendre.
. — C’est doña Florinde en personne. — Elle s’y prend si galamment que l’écolier n’a bientôt plus de prétexte pour refuser de se battre.
Le boulevard n’était plus assez large pour sa personne que gonflait le succès.