Et, comme il sied à un acte inutile et arbitraire, il s’y livre sans prévoir de fin ; il entre dans une interrogation illimitée, dans l’infini de la forme interrogative. […] On dirait qu’il joue au plus fin, — je veux dire : au plus prompt, — avec sa pesanteur, dont il esquive à chaque instant la tendance. […] Cet acte, comme la danse, n’a pour fin que de créer un état ; cet acte se donne ses lois propres ; il crée, lui aussi, un temps et une mesure du temps qui lui conviennent et lui sont essentiels : on ne peut le distinguer de sa forme de durée. […] Ces mains ne sont-elles pas des danseuses qui, elles aussi, ont dû être soumises pendant des années à une discipline sévère, à des exercices sans fin ?
Les Grecs qui avaient la vue déliée et l’oreille fine, entendirent l’Oracle, et en conséquence, ils regardèrent toujours la Danse, comme une imitation par les gestes, des actions et des passions des hommes.
[3] Potrei qui fare un diffuso catalogo, riducendo le varie maniere ed i diversi tempi co’ quali l’armonia si misura, se il mio proponimento stato fosse d’insegnare altrui la musica; ma perciocché ad altro è inteso il mio fine, cioè a trattare del ballo nobile, perciò parleremo di quelle sole misure che cotal arte riguardano.
Les extrémités fines comme un article de Monselet à jeun… — Et des attaches ? […] Construction très fine et très ferme. […] La taille moins fine que le crayon de Grévin. […] Or, un soir que la fine mouche avait, dans l’une de ces collectes, récolté une centaine de francs : — J’espère, lui dit une camarade, que tu vas me rendre les trente sous que tu m’as empruntés l’autre jour… — Moi, repartit la petite Vignon, payer mes dettes & à seize ans ! […] les parties fines et carrées que l’on faisait avec mademoiselle Ducosson, — une ancienne qui a quitté l’Opéra, — avec certain ténor aujourd’hui marié (un ténor qui prise, pouah !)
Claretie, très fin et très simple. […] Le statuaire Rodin nous montrera peut-être ses traits fins et ses yeux vifs au prochain Salon, car il est occupé présentement de faire le buste et, je crois même, la statue de la comédienne. […] fin
Elle resta dans cette ville jusqu’à la fin du mois de mai. […] Il y en a trop ; on ne peut les enlever, et la scène reste, jusqu’à la fin de l’acte, transformée en jardin. […] Quelle différence entre ces Béotiens du Nouveau-Monde et le public si fin, si cultivé, de Paris ! […] Déjà la fin de son séjour à New-York s’était passée dans une atmosphère de malaise et de tristesse. […] Mais à l’arrivée à Liverpool, le premier événement qu’on lui annonça fut la fin tragique du duc d’Orléans.
Roussel, des mailles si fines que la plus menue pointe de danseuse s’y prendrait.
A chassé [7] Il Fleuret a Chassé puol farsi pure avanti, addietro, fiancheggiato, in giro; volendosi questo fare “avanti”, dopo di essersi posto in posizione, fattosi il primo passo innanzi, l’istessa piegatura che si fa nella fine del portamento del primo passo, e il piede che trovasi indietro va ad urtare con la noce il tallone dell’altro piede cacciandolo in quarta avanti, e così avrà termine.
Je dis qu’il faut le plier à propos, c’est qu’il faut que vous pliez sur la fin de la mesure pour vous lever, lorsque l’on frappe la mesure, ce qui se nomme en terme de danse cadence.
Ils avoient encore parmi eux des Saltinbanques ou Charlatans, pour vendre leur mithridat ; & sur la fin du spectacle, quelques-uns de leur troupe alloient faire la quête parmi les spectateurs, qui mettoient ce qu’ils vouloient dans la tirelire, comme je l’ai vû pratiquer dans ma jeunesse les Fêtes & Dimanches à la Place de Nesles, où l’on a bati depuis le Collége des Quatre-Nations. […] Mais les Comédiens François & l’Opéra s’étant toujours opposez à l’embellissement de leurs spectacles, les ont à la fin contraint de s’abonner avec eux pour un tems, en payant, je crois, dix mille écus ; moyennant quoi ils ont joint à leurs représentations des Piéces comiques qui peuvent passer pour une maniere de critique burlesque contre les mœurs du tems, qui sont assez au goût des gens de la Cour & de la Ville ; joint aux belles décorations de leur Théâtre. […] Mais il ne daigna pas faire mention des Danseurs de corde, dont les jeux furent regardez depuis comme un spectacle convenable à la populace ; ce qui a duré jusqu’à la fin du siécle précédent, où ils ont rétabli leur réputation à Paris, comme je l’ai rapporté ci-devant.
Dans ce même Poème à la fin du troisième Acte, lorsque l’inflexible Dieu de la guerre a dit : Un vain respect ne peut me plaire : On ne satisfait Mars que par de grands exploits : Vous que l’Enfer a nourries, Venez cruelles Furies, Venez briser l’Autel en cent morceaux épars. […] Tel est l’état de l’action à la fin du troisième Acte.