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86. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147

Ce trône est environné des officiers et des dames de sa cour.

87. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Le roi mena la mariée au moutier, suivie de la reine, princesses, et dames tant richement vêtues, qu’il n’est mémoire en France d’avoir vu chose si somptueuse. […] De chaque côté de l’arc de triomphe régnaient deux galeries, dont la supérieure était remplie par les dames les plus distinguées de la ville, et l’autre l’était par cinquante-deux jeunes demoiselles habillées à l’espagnole. […] Le 28 la ville offrit des présents aux dames et aux seigneurs de la cour de Madame la Dauphine, et aux principaux officiers de sa maison. A midi Madame la Dauphine se rendit à l’église métropolitaine, accompagnée des dames et seigneurs de sa cour, et des principaux officiers de sa maison. […] Les tourniquets à courir la bague, occupés par des dames supposées des campagnes et des châteaux voisins, et par des cavaliers du même ordre, divertirent d’abord le Roi.

88. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

Dames du Palais. […] Les cris d’Eleclre ont attiré les Dames et les Officiers du Palais, déjà prévenus par l’epouvante qu’Electre a semée.

89. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184

Guimard imitoit les graces dont elle étoit la favorite, et retraçoit dans sa danse tout ce qu’elles ont de divin ; elle étoit recherchée dans ses vêtemens et ses ajustemens ; devenue l’oracle du bon goût, les dames de la cour et la ville s’empressoient de la consulter.

90. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Il soupira pour de grandes dames auxquelles il pouvait à peine se permettre de laisser deviner sa passion : c’étaient la duchesse Jeanne d’Acerenza, la princesse de Solms, la princesse Dolgorouki, la comtesse Lanckoronska. […] Un ami avait désapprouvé son choix, mais il consulta une des dames réputées pour avoir le meilleur goût de tout Vienne ; elle l’assura que le cadeau ne serait pas moins utile qu’agréable. […] A cette dame qui avait résisté à ses avances, Gentz vante les heures délicieuses qu’il passe avec sa nouvelle amie. […] La soirée s’était terminée par une promenade dans le parc, où Gentz fit aux dames un petit cours d’astronomie.

91. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Déjà les temps, les échos, les enchaînements de la jolie Allemande sont imités aux répétitions par plusieurs de ces dames qui se piquent d’elssleriser avant un mois. […] Voir le Petit Courrier des Dames, septembre et octobre 1834.

92. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

Bradamante et Roger accompagnés d’une foule de chevaliers chrétiens et d’héroïnes entroient dans un vaste peristile qui conduisoit au temple de l’immortalité ; les chevaliers et les dames exprimoient par des danses héroïques la joye que cette union leur inspiroit ; Roger et Bradamante s’associoient à cette fête noble et peignoient dans un pas de deux en action, leur amour et leur félicité. […] Il n’avoit pas plutôt jetté ses regards sur cette glace fidèle, qu’il étoit honteux de ses erreurs ; il n’hésitoit plus ; il jettoit loin de lui son turban, son armure, son bouclier et ses armes, et se précipitoit ensuite dans les bras de la vérité ; toutes les vertus qui font la gloire des Princes l’environnoient ; Bradamante an comble de la joye voloit vers lui ; les chevaliers et les dames se réunissoient à l’entour des deux époux et des vertus ; ceci lormoit progressivement un groupe général varié de positions ; il offroit le tableau intéressant du bonheur ; les deux amans ensuite étoient unis par les vertus ; les daines présentoient à Roger un casque riche ombragé d’un panache blanc ; les chevaliers lui attachoient une magnifique cuirasse.

93. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97

— Cette dame pâle, à la figure si douce ?

94. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249

Des dames ôtaient leurs bracelets, d’autres leurs bagues, d’autres leurs broches, pour me les donner, malgré mes constantes protestations.

95. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71

Les jolies femmes toujours prêtes à se porter vers les extrêmes, imitèrent les dames Romaines ; elles trouvèrent Marcel charmant, délicieux, divin, et ce fut à qui l’auroit.

96. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287

L’hilarité alors ne garda plus de bornes… Cette génération de figurantes dura jusqu’à l’invasion des alliés, qui en firent : Des millionnaires, Des princesses, Des mères de famille respectées… Car on peut faire d’une marcheuse : Une rentière, Une grande dame, Une femme honnête, au besoin… Tout ce qu’on voudra, — tout, tout, tout… Excepté une artiste.

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