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185. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93

Ensuite les ministres, considérant la danse du côté des mouvemens qui la composent, observent « que l’ame qui les commande, et donne commencement à ces mouvemens, est nécessairement telle, qu’elle rend le corps qu’elle gouverne, volage, léger, remuant, sans arrêt ; ce qui ne peut convenir à l’honneur de l’homme chrétien… Quant à ce que de telles démarches se font par règles et mesures, ce n’est point pour les approuver davantage ; car c’est toujours faire ce que font les fous et les insensés : il y a seulement cette différence, que le faire avec règle et mesure, c’est, comme dit un certain poète comique (Térence), faire l’insensé avec raison, et montrer qu’on a la cervelle plutôt aux pieds qu’en la tête ; et nous disons que pour cela la folie et la vanité des hommes se montrent bien plus grandes… Avoir mis cette vanité en art, et aller à l’école pour l’apprendre, n’est-ce pas là la vanité des vanités ?

186. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

La force dramatique qu’elle déploya dans Yelva, l’orpheline russe, fit une impression profonde sur une jeune artiste qui jouait à côté d’elle, Louise Neumann, la fille de la célèbre Amalie Haizinger, la future comtesse de Schœnfeld150. […] « Sa mémoire restera chère, dit la baronne de Knorr, à tous ceux qui l’ont connue ; aux générations suivantes elle apparaîtra comme une des figures les plus aimables du siècle dernier158. » Fanny Elssler fut enterrée au cimetière de Hietzing, où, quelques années après, sa cousine Catherine Prinster, son inséparable compagne jusque dans la mort, vint reposer à côté d’elle.

187. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »

Les jeunes filles et les jeunes garçons les exécutaient avec une couronne de chêne sur la tête, et des guirlandes de fleurs qui leur descendaient de l’épaule gauche, et étaient rattachées sur le côté droit.

188. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Mais son triomphe était un certain pas de menuet qu’elle exécutait sur le bord des rampes d’un côté à l’autre du théâtre.

189. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269

… Avec votre petite sœur, qui était sans cesse à vos côtés ?

190. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

D’un côté, il auroit peint la douleur d’Electre et d’Iphise, embrassant le corps ensanglanté de leur père ; de l’autre, il eût fait éclater la joye barbare d’Egisthe et de Clytemnestre.

191. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Mais la vocation d’artiste exigeait un sacrifice qui fut consenti des deux côtés.

192. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96

ils estropient l’original, ils le chargent et n’en prennent que les défauts ; car il est plus aisé de saisir les ridicules, que d’imiter les perfections : Tels les courtisans d’Alexandre, qui ne pouvant lui ressembler par sa valeur et ses vertus héroïques, portoient tous le cou de côté pour imiter le défaut naturel de ce prince.

193. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Rompant avec l’usage traditionnel, Viganò ne craignit pas de faire évoluer le corps de ballet face à la statue du Dieu placée sur le côté du théâtre en sorte que les danseurs se présentaient de flanc aux regards des spectateurs.

194. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

P…, qui venait s’asseoir seulement à côté d’elle, à trois heures, pendant son dîner.

195. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Souffrez que des rivaux soient à votre côté. […] Quelque chose qu’elle fasse, dit Tibulle, de quelque côté qu’elle porte ses pas, les graces composent ses mouvemens sans qu’elle s’en doute, et la suivent par-tout.

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