Vraiment, une danseuse classique en arrivait à se mépriser un peu elle-même, exilée comme elle l’était du mouvement artistique.
Des Corsaires arrivent et jettent, par leur approche imprévue, l’épouvante dans l’âme des jeunes Athéniennes.
Ce clinquant attirait les hommes de négoce, les financiers, les arrivés de la politique, comme les facettes du miroir attirent les alouettes. […] Il court à droite et à gauche, stimulant tout le monde, ne reculant devant aucune fatigue pour arriver à ses fins, réclamant de tout son personnel, depuis les gloires du chant et de la danse jusqu’au plus humble musicien de l’orchestre, une contribution active à la marche irréprochable du spectacle. […] Le grand Véron eut en conséquence cette idée de génie, de satisfaire chez les gens le goût du spectacle pour les yeux à un tel degré que la musique n’arrivât plus à les incommoder et que l’Opéra leur offrît le même plaisir que Franconi. […] « Tous les premiers rôles devaient être fêtés, rappelés, redemandés, c’était de droit ; mais, lorsque nous arrivions aux artistes de second ordre, il me répugnait de traduire nettement et en termes précis ce qu’on devait faire pour chacun ; je craignais d’afficher des préférences personnelles ; j’avais donc adopté, pour m’entendre à ce sujet avec Auguste, une gamme chromatique dont les notes élevées étaient une excitation des applaudissements, dont les notes basses prescrivaient de la froideur.
Or, en ce combat, le danger est de vouloir ce que les ennemis désirent, et la victoire est de les fuir, et de s’en abstenir ; ce qui se doit faire en la jeunesse avec une prudence et une sollicitude d’autant plus grandes, que c’est le commencement du combat, où faillir et donner prise à l’ennemi, comme il arrive à la guerre, est un mauvais présage pour tout le cours du combat… Par conséquent, lorsqu’on dit que la jeunesse est gaie, et qu’on la doit laisser danser, il faut prendre l’argument tout contraire. » Après avoir interdit si sévèrement les danses aux jeunes gens, ces auteurs protestans l’interdisent encore avec plus de force aux jeunes personnes de l’autre sexe. […] Il faut, ajoutent-ils, que les chrétiens aient de bonne heure appris la règle que saint Paul donne (Rom. c. 3, v. 8.) de ne faire jamais le mal, afin que le bien en arrive. […] Il arrive rarement qu’une nation éclairée tombe dans un obscurcissement si universel, qu’elle ne discerne plus le vrai du faux, et le juste de l’injuste.
Elles jaillissent de la terre, elles descendent des arbres, il en arrive de tous côtés. […] Précisément une victime nous arrive ; ce misérable Hilarion, troublé par ses remords, trompé par un faux sentier de la forêt, revient à son point de départ, à la tombe de Giselle. […] Plus d’un œil qui ne croyait voir que des ronds de jambe et des pointes, s’est trouvé tout surpris d’être obscurci par une larme, ce qui n’arrive pas souvent dans les ballets.
En avant, la jambe doit arriver à la même position qu’offre la fig.
Quand l’homme s’élance en haut, la tête est trois fois plus active que le talon du pied avant que les doigts se détachent de la terre, et deux fois plus rapide que les hanches, ce qui arrive parce que dans le même temps sont effacés trois angles, dont le supérieur est celui ou le buste se joint par-devant aux cuisses, le second celui où les cuisses du côté du jarret sont unies aux jambes, et le troisième est formé par devant de la réunion de la jambe avec le cou-de-pied.
On arrive à une barrière, une très vulgaire barrière, qui ne ferme rien et n’est là, je pense, que pour empêcher les animaux errants d’entrer et ceux de la maison de sortir.
Celui qui a fait le premier opéra à Naples, arrive à Milan pour composer le second ; celui qui a fait le premier opéra a Milan, part pour aller composer le second à Turin, Vous voyez, que tous ces hommes de mérite font la navette.
Dauberval, mon élève ou plutôt celui de la nature, arriva à Paris.
Elles arriveront à Paris au mois de juillet prochain. […] A présent elle appartenait à son beau royaume de France et à ses loyaux et enthousiastes sujets de sa bonne ville de Paris. » Après ces tirades larmoyantes, Jules Janin en arrive à la Tempête. […] Don Juan n’arrivait le 8 octobre qu’à 5 263 francs, montait à 6 736 fr. le 3 novembre, et tombait le 29 décembre à 4 982 francs. […] Par ce moyen de locomotion arrivait dans une île d’Islande un garçon apothicaire qui arrachait la belle Léa aux fils difformes de la mère Cagoule, Bag, Beg, Big, Bog, Bug et Caliban.