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137. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256

La décoration représente le vestibule du temple de Diane ; le sanctuaire en est séparé par un vaste portique fermé par un rideau d’étoffe riche ; lorsque ce rideau se tire, on découvre le sanctuaire qui est de forme circulaire ; on voit l’autel destiné au sacrifice : un peu plus loin et sur un plan plus élevé est la statue de Diane.

138. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71

 6. c. 6.) après avoir comparé les mouvemens de la danse à ceux du démon, qui tourne autour de nous comme un lion rugissant, cherchant quelqu’un qu’il puisse dévorer , et en avoir tiré cette conclusion : « Que ceux qui dansent faisant le chemin du démon, se trouveront un jour avec lui dans l’enfer, qui est le terme de ce chemin » ; cite l’endroit de l’Apocalypse où il est dit (c. 9., v. 1.

139. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215

Elle tire son poignard, elle veut s’arracher la vie ; mais ses compagnes arrêtent son bras et se hatent de la détourner de ce dessein barbare.

140. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434

Elle tire son poignard, elle veut s’arracher la vie, mais ses compagnes arrêtent son bras & se hâtent de la détourner de ce dessein barbare.

141. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »

[voir Traité historique, Ire partie, livre I, chap. 10, « De la Danse sacrée des Chrétiens »] C’est de la religion des Hébreux, de celle des Chrétiens, et du Paganisme, que Mahomet a tiré les rêveries de la sienne.

142. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

D’aucuns tirèrent l’épée pour ou contre… Des paris considérables s’établirent… Pendant des mois, on épia un mouvement révélateur… A la fin, les parieurs députèrent chez la ballerine trois des leurs, chargés de lui demander la vérité à cet endroit… Quand ceux-ci se furent expliqués, Marie-Anne devint pourpre et baissa les yeux… Puis, dessinant une cérémonieuse révérence « pour s’efforcer de cacher son pudique embarras, » elle répondit d’une voix émue : — Hé !

143. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Horace de Viel-Castel dit dans ses Mémoires : « Véron, c’est le bourgeois gentilhomme du dix-neuvième siècle27 », et ailleurs : « Véron joue un rôle et il le joue bien ; c’est l’insolence élevée à la plus haute puissance et qui a su tirer parti des éléments impurs qui composent le fond de notre marais social.

144. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

. — Bellaspada, pour comble de honte, voyant tomber une à une les plumes de paon dont le geai s’était paré, tire sa sœur par le bras et s’éclipse discrètement.

145. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Elle devait son succès à l’étude, qui tirait le meilleur parti de ses avantages et désavantages physiques.

146. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

Ainsi, du manque même de proportion, Marie Taglioni tirait un effet saisissant.

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