Je pourrais ajouter que le danseur qui aura été assez heureux pour joindre à l’étude de son art celle du dessin, sous un maître éclairé, qui surtout l’applique à la connaissance du beau idéal, que ce danseur, dis-je, à mérite égal en dons naturels, et de ceux qu’il aura acquis dans une bonne école de danse, s’il est placé dans les mêmes circonstances que ses émules, aura toujours sur eux une grande supériorité. […] Ces observations, à l’égard du mécanisme de certaines parties de l’art, et surtout celles faites sur les constructions physiques des sujets, sont remplies de justesse.) […] Cette qualité est surtout requise dans les airs à danser.
Sans elles rien ne peut se faire dans l’art de la danse : la tête surtout ne peut avoir d’inflexions ni contraster agréablement, avec les positions du corps, c’est donc l’étude de cette union et de cette harmonie qui constitue la danse par excéllence. […] Pour que ces mouvemens se lassent avec plus de facilité, la nature a formé des os qui ont des cavités, et des os qui ont des têtes ; ces cavités et ces têtes qui se réunissent et s’emboitent, sont couverts de cartilages lisses et polis, surtout pour les os qui sont destinés à produire des mouvemens manifestes ; ce sont ces rencontres et ces jonctions, que l’on nomme articulations. […] L’articulation du bras, ainsi que je l’ai dit, permet de mouvemens en fronde et de rotation qui lui sont d’autant plus faciles, que la tête de l’os n’est point enclavée dans une cavité aussi profonde que celle de la hanche, puisqu’elle meut sur une surface lisse, polie, légèrement enfoncée, dont les rebords ne gênent point l’étendue des mouvemens comme ceux de la cavité des os de la hanche bornent ceux de la cuisse, surtout en dehors à cause de la courbature en dedans du col du Fémur.
J’ai conservé les personnages de Sémiramis, de Ninias, d’Oroès Pontife de Babylone, et surtout l’ombre de Ninus.
On sait que, chez les peuples de l’antiquité, les sacrifices étaient accompagnés de cris de joie, et surtout de danses : toute la nature semblait sourire à leurs fêtes publiques.
Puis il s’avance, statue gardant son aspect frontal ; car il marche « en dehors » sur les plantes, s’appuyant surtout sur les talons, ce qui lui permet de marquer le rythme avec les doigts.
Elle fut surtout supérieure dans les tableaux de galanterie.
D’ailleurs, si les danses étoient un divertissement innocent de sa nature, tout ce qu’on devroit recommander par rapport à elles pour les jours de dimanches et de fêtes, ce seroit de n’y pas donner trop de temps en ces saints jours, et surtout de n’y pas employer le temps du service divin.
Cependant il a arrangé au dernier acte, quand tout le monde est ressuscité, un adage fort beau où Zambelli exécute des triples tours étincelants, mais surtout cette variation de Sylvia et Aminta qui me ravit.
Il représentait en sa danse, En l’une, la Maison de France ; Puis Pluton, Mars et le Soleil, Le dernier dans un appareil Assez conforme à la manière Que l’on peint ce Dieu de lumière : Mais, surtout, furent admirés De son chef les cheveux dorés, Agencés d’une main habile, Et d’une façon si subtile, Que jusqu’à présent nul Mortel N’avait admiré rien de tel ; Notre cher Porte Diadème Le prisa fort, dit-on, lui-même, Et tous les Gens de qualité Etant près de Sa Majesté.
Pâle et douce image d’un poète insouciant qui croit avoir tout fait pour la gloire et surtout pour la joie intérieure, quand d’une course aux pays lointains il rapporte moins que rien, un conte, un rêve, une ballade. — Nodier, en effet, rapportait de son voyage en Écosse l’histoire de Trilby : Trilby, c’est le bon génie du foyer domestique, c’est le diable amoureux qui se rencontre dans toutes les mythologies ; c’est le rêve du printemps quand se glisse furtivement, dans la maison réjouie, le premier rayon du soleil ; c’est le rêve de l’hiver, à l’heure solennelle où la famille se presse, grelottante, autour de l’âtre enflammé ! […] Les Mille et une Nuits, ce rêve tout éveillé de l’Orient, il y faut croire et surtout si vous entourez de miracles visibles la lampe merveilleuse d’Aladin. Le poème de Nodier, ce gai Trilby, il faut y croire et surtout quand une belle jeune fille de vingt ans viendra prêter, à cette histoire, la grâce et la poésie de sa bienfaisante jeunesse.