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261. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

Que mademoiselle Saulnier gourmande donc très fort l’artiste rembourreur, qu’elle examine elle-même l’ouvrage ; et si son intention n’est pas de pouvoir dire : J’évite d’être maigre, et je deviens bossue, je lui conseille, toutes les fois qu’elle aura sur elle la dépouille de l’animal porte-laine, de se frotter le dos contre les murs de sa loge, afin d’aplanir les parties montueuses de ses reins. […] Mademoiselle Noblet étant allée faire un voyage à Londres : — Depuis quand est-elle partie ?

262. (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23

« La jeunesse seule a pour vous le charme de la beauté ; c’est pour elle que vous m’avez quittée, fantaisie de mon sommeil que je n’ai fait qu’exprimer. » Telle est la première partie de ce récit fantastique ; l’imagination peut en revendiquer sa bonne part ; mais cependant cela ne dépasse pas les limites convenues. — Laissez-vous conduire, suivez la fille de l’air dans ses demeures que couvre un vert feuillage.

263. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97

J’ai ajouté (parce que je n’ai pu m’en dispenser) à la scène de Daphnis et de Philis ; j’ai fait enfin intervenir Vénus, pour gagner du coté de la pompe et de la machine, une partie des choses délicieuses que j’ai été obligé de sacrifier à l’insuffisance de la pantomime, qui ne fait que bégayer confusément, lorsque les grandes passions ne lui prêtent point de ressort et ne la font, pour ainsi dire, qu’articuler.

264. (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205

Aujourd’hui cette étiquette a perdu en partie son prestige.

265. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Il ne lui manque que des grâces un peu plus arrondies dans certaines parties de son rôle. » Noverre, dans ses Lettres sur la danse, fait ainsi le portrait de cette danseuse : « Mademoiselle Guimard fixa les applaudissements depuis son début jusqu’à sa retraite.

266. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269

les parties fines et carrées que l’on faisait avec mademoiselle Ducosson, — une ancienne qui a quitté l’Opéra, — avec certain ténor aujourd’hui marié (un ténor qui prise, pouah !)

267. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

La Société de musique fondée en 1813 avait pour but, comme disait son programme, « l’essor à donner à la musique en toutes ses parties ».

268. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

« Sans doute, écrit Stendhal, il y a des parties absurdes dans Prométhée, mais au bout de dix ans, le souvenir en est aussi frais que le premier jour et l’on s’étonne encore16. » Au point de vue chorégraphique, le principal intérêt de Prométhée consistait dans la parfaite mise au point des mouvements de foule, des évolutions cadencées des divers groupes.

269. (1921) L’âme et la danse pp. 99-128

— Et comme la pensée excitée touche à toute substance, vibre entre les temps et les instants, franchit toutes différences ; et comme dans notre esprit se forment symétriquement les hypothèses, et comme les possibles s’ordonnent et sont énumérés, — ce corps s’exerce dans toutes ses parties, et se combine à lui-même, et se donne forme après forme, et il sort incessamment de soi !

270. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Et il ajoute tout bas : « Si tu veux, au carnaval nous irons faire une partie de bal Chicard. » Le maire répond : « Monsieur le préfet, vous me faites beaucoup d’honneur. » Sous le cachemire de la femme du financier, sous la tiretaine de la fermière, même sous le sarrau de serge des sœurs de la sagesse, partout la Lorette se trahit à l’œil exercé qui la cherche… Un poème.

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