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109. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71

Je pourrois me dispenser d’ajouter de nouvelles autorités à celles des saints pères et des conciles que je viens de citer.

110. (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24

le cor sonne des fanfares éclatantes, répétées par l’écho de la vallée ; les chiens aboient, retenus à grand-peine par les piqueurs ; les chevaux piaffent et se cabrent ; c’est la princesse Bathilde qui chasse avec le duc son père, accompagnée d’une suite brillante et nombreuse.

111. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Maximilien-Philippe Gardel (frère aîné de Pierre Gardel, actuellement maître des ballets de l’Opéra), né à Munich, premier danseur de l’Opéra, en partage avec Vestris père. […] En 1562, pendant la tenue du concile de Trente, le cardinal Hercule de Mantoue, qui y présidait, en assembla les Pères, pour déterminer la manière dont le fils de l’empereur Charles-Quint y serait reçu. […] Après un grand festin, le cardinal de Mantoue ouvrit le bal où le roi Philippe et tous les Pères du concile dansèrent avec autant de modestie que de dignité ».

112. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180

C’est, dira-t-on, la faute des nourrices ; raisons foibles, excuse frivole, qui loin de justifier la négligence des pères et des mères, ne servent qu’à les condamner.

113. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Son père, prétend au contraire la Biographie des artistes belges, était un ancien maître de danse flamand appelé Just Cupis, dit Camargot et non Camargo : il avait été condamné, pour vol d’argenterie, chez le marquis d’Asch à Bruxelles, à un emprisonnement de six mois et au bannissement perpétuel.

114. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur l’interprétation du chanteur »

C’est sur les noirs autels de l’avarice que des pères cruels immolent eux-mêmes leurs fils, leur postérité, et peut-être des citoyens qu’on aurait vu quelque jour la gloire et l’appui de leur patrie.

115. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

On ne s’attachera point à rapporter les fêtes si connues de ce règne éclatant ; on sait dans les royaumes voisins, comme en France, qu’elles furent l’époque de la grandeur de cet état, de la gloire des Arts, et de la splendeur de l’Europe : elles sont d’ailleurs imprimées dans tant de recueils différents ; nos pères nous les ont tant de fois retracées, et avec des transports d’amour et d’admiration si expressifs, que le souvenir en est resté gravé pour jamais dans les cœurs de tous les Français. […] Lorsque Madame la Dauphine fut rentrée, les députés du corps de ville de Bordeaux lui demandèrent la permission de lui présenter un dîner que la ville avait fait préparer, et d’avoir l’honneur de l’y servir ; ce que Madame la Dauphine ayant eu la bonté d’agréer, suivant ce qui s’était pratiqué lors du passage de sa Majesté catholique, père de cette princesse, la cuisine de la ville aborda la maison navale, et celle de la bouche qui avait suivi depuis Bordeaux, se retira. […] Javilliers père, et la Mangot, en hollandais et hollandaise, occupaient cette riche boutique, qui avait pour inscription, Messager.

116. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

A la reprise de 1751, notre parterre chantait Brillant soleil, etc. avec autant de facilité que nos pères psalmodiaient Armide est encore plus aimable, etc.

117. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

A Berlin elle eut la douleur d’apprendre la mort de son père, décédé à Vienne le 12 janvier 1843, à l’âge de 73 ans.

118. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Quand il se comporte à la fois en père et en amant, on est péniblement impressionné comme d’une vague odeur d’inceste.

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