Tout à coup j’aperçus, au fond d’une de mes malles, un petit coffret, un minuscule coffret, que j’ouvris. […] Inconsciemment je sentais que j’étais en présence d’une grande découverte, d’une découverte dont je n’eus que plus tard la certitude et qui devait m’ouvrir la voie que j’ai suivie depuis.
Je n’étais pas inquiet, mais curieux ; je me suis rhabillé à demi, j’ai ouvert la fenêtre et j’ai entendu distinctement les voix qui se passaient de l’une à l’autre de loin en loin un seul mot : Rien ! […] — Ici, ma chère mère, j’ouvre une parenthèse pour te demander pardon des minuties de mon racontage.
Ce ne sera pas d’être présent à ces danses ; mais de parler souvent en chaire contre elles ; d’exhorter avec charité et avec douceur les personnes de la paroisse qui les aiment, à y renoncer ; d’être ferme et de ne point admettre aux sacremens ceux et celles qui refuseront de se rendre à ses avis ; de faire à Dieu de fréquentes et de ferventes prières pour obtenir de sa miséricorde qu’il ouvre le cœur de ses paroissiens à ses exhortations ; et, s’il ne peut, par tous les efforts et toute l’industrie de son zèle, arrêter un mal dont il sent toutes les funestes suites, il ne doit pas se décourager pour cela ; mais redoubler dans le secret ses gémissemens, espérant qu’ils ne seront pas entièrement sans fruit pour quelques-uns de ceux qui en auront été l’objet ; ou que s’ils ne leur servent pas, ils lui serviront à lui-même, en attirant sur lui, pour sa propre sanctification, les grâces qu’il n’aura pas obtenues pour la sanctification des autres.
Ici, la scène changera, elle représentera un endroit délicieux embelli par l’enfant de Cithère ; il paraîtra dégagé de ses attributs ; il annoncera à la belle Gabrielle l’arrivée du Monarque, il ouvrira son coeur à la tendresse ; les Jeux, les Ris et les Plaisirs devanceront les pas du Héros, cette troupe enjouée sera conduite par la volupté.
La danseuse ouvrait de grands yeux étonnés.
Le fond du théâtre s’ouvrit. […] Il chassa l’Apparence, il fit ouvrir le nuage sur lequel elle s’était montrée. […] Les Fêtes Vénitiennes ont ouvert une carrière nouvelle aux Poètes et aux Musiciens, qui auront le courage de croire, que le théâtre du merveilleux est propre à rendre le comique.
Mademoiselle Bernay Ouvrez le premier dictionnaire de géographie venu, vous y trouverez : « Bernay, chef-lieu d’arrondissement de l’Eure, 7,643 habitants. » L’arrondissement y est bien, parfois ; mais le dictionnaire exagère le nombre de ses habitants. Ouvrez l’Evénement du 13 février 1882, vous y lirez : « Mademoiselle Bernay, aimable personne. — Très simple et très rangée. — Excellente mère de famille, » Ouvrez, enfin, le Plutarque des Dames, ou Etrennes aux Oisifs, publié, en l’an de grâce 1831, par Paul Domère, libraire, rue du Cimetière-Saint-André-des Arts ; vous y rencontrerez, à l’adresse de mademoiselle Marsolier, « élève de Terpsychore à l’Académie royale de musique », ce couplet qui pourrait, à bon droit, s’appliquer également à mademoiselle Bernay.
Les plus beaux entrechats sont l’entrechat à six et l’entrechat à six ouvert, qui se fait en ouvrant le troisième temps (voyez planc.
L’Afrique lui ouvrira la fameuse demeure des Hespérides ; qu’il y suive les traces d’Alcide, qu’il cueille avec lui les pommes d’or.
Mon ami Poulle m’a raconté ses jours d’exil à la Jamaïque, et je vous ouvre mon cœur et mes bras.