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49. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 26 juin. Lettre à Mlle ***, de l’Opéra. »

Et voilà qu’en même temps la danse classique, patrimoine français, sort de l’ombre et s’épanouit dans la nouvelle lumière.

50. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 30 octobre. Le danseur et le préjugé au travesti. »

Pour les participants de la nouvelle civilisation bourgeoise, mercantile, utilitaire, hypocrite quant aux masses, purement intellectuelle dans son élite, de cette civilisation qui amena l’atrophie du geste spontané et du régime cérémonieux du mouvement, la situation de l’homme-danseur se présentait comme indigne, frivole, voire perverse.

51. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 2 avril. Pour une danseuse morte. — Anniversaire. – Bilan. »

de ces images une si surprenante beauté que je n’aurais su les oublier et qu’aujourd’hui la fatale nouvelle me touche infiniment.

52. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Première lettre. A monsieur le duc d’Autremont, château d’Autremont. » pp. 79-81

Mais vous en avez trente, mon cher enfant, et c’est le bon âge pour recommencer une vie nouvelle.

53. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Septième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes. » pp. 446-448

— Avant tout, monsieur le duc, il faudrait me dire quelle importance vous voulez donner à la construction nouvelle.

54. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Une nouvelle mine d’or s’ouvrit pour le brillant écrivain. […] A cette dame qui avait résisté à ses avances, Gentz vante les heures délicieuses qu’il passe avec sa nouvelle amie. […] A cette première visite, Fanny séduisit sa nouvelle amie plutôt par l’harmonie de tout son être et par l’expression de son visage que par le détail de sa beauté. […] Encore une fois Gentz se résigna ; il donna une nouvelle preuve de son amour en laissant à celle qu’il aimait une entière liberté. […] Mémoires d’un Bourgeois de Paris, Paris, Librairie Nouvelle, 1856, t. 

55. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XI, une visite chez rodin » pp. 118-123

A Meudon, au contraire, tout semble aspirer à une vie nouvelle, à des temps nouveaux.

56. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre III. » pp. 21-26

D’après cette description, on ne peut douter de l’antiquité des sciences, et des arts ; et il est naturel de penser qu’à peine sortis de leur enfance, ils furent dispersés sur la terre, et qu’ils abandonnèrent les lieux arides de leur naissance, pour chercher une nouvelle patrie ; qu’enfin ils choisirent l’Egypte de préférence, parce que ce pays jouissoit de la plus grande renommée.

57. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Enfin au moment où elle était en droit d’espérer qu’une création nouvelle lui ferait regagner le terrain perdu, un attentat politique jetait la consternation dans Paris et repoussait les affaires de théâtre à l’arrière-plan de l’actualité. […] La société la plus brillante de Paris, réunie ce soir-là à la salle de la rue Le Peletier, accueillit, avec des transports d’enthousiasme, l’œuvre nouvelle qui formait, semblait-il, un digne pendant à Robert le Diable. […] Elle était en mesure d’apporter dans l’évolution du ballet une note nouvelle, en donnant satisfaction d’une part aux romantiques, épris de mouvement et d’exotisme, et d’autre part à ceux qui pensaient que les vieilles traditions françaises de finesse, de mesure et d’élégance avaient du bon. […] C’est au milieu de cette espèce de deuil public que tomba la nouvelle de la maladie de Fanny Elssler. […] Le 19 décembre elle signait le traité qui la liait à l’Opéra pour une nouvelle période de quatre années.

58. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii » pp. 96-101

Mon âge, soixante années de travaux et de recherches, m’ont acquis, peut être, le droit de parler, de juger et de prononcer sur un art que j’ai approfondi, et au quel j’ai ouvert une nouvelle carrière.

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