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72. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIII, la valeur d’un nom » pp. 264-

Il me raconta l’histoire suivante : — Lorsque vous jouiez Jack Sheppard, l’une des dames de la troupe demeurait ici avec M.

73. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 5 mars. Pour le ballet français. Ballets russes ; ballets français. — Une variation de « Sylvia ». — « Fox-Péri ». — Juliette Péri. »

Puis créer, car la France ayant, dans l’histoire donné à la danse son expression suprême peut être appelée à en déterminer la renaissance.

74. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre IV. Sur le même sujet. » pp. 24-29

Ma lettre, Monsieur, est déjà bien longue, il faut, pour vous prouver mon assertion que je remonte aux causes premières qui ont nécessité chez ce grand peuple, le goût et l’étude de la musique : permettez moi donc de remettre à un autre instant, mes réfléxions sur cet objet, intéressant peut-être pour l’histoire de cet art enchanteur.

75. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

Elle avait une sœur, réputée pour sa beauté, qui, devenue la femme d’un gentilhomme italien, faisait dire : « Voir Venise et la belle Contarini. » La troisième du nom, Marie, nièce des deux précédentes, est l’héroïne dont nous allons résumer l’histoire. […] Malgré la médiocrité de la partition, ce fut une soirée triomphale qui fait date dans l’histoire de la danse. […] Gautier, Histoire de l’Art dramatique, t.  […] De Spoelberch de Lovenjoul, Histoire des Œuvres de Th.

76. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53

Telle est, du moins, la légende que raconte Nestor Roqueplan, qui, ayant été, — de 1847 à 1854, — directeur de l’Opéra, était, mieux que personne, en mesure d’en connaître l’histoire jusque dans les replis les plus invraisemblables. […] vous vous rappelez l’histoire de mademoiselle Saint-Germain, dont — vers 1730 — le financier Crozat avait fait tapisser le boudoir de billets de caisse, — ce qui, entre parenthèses, devait être excessivement laid !

77. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-

Un directeur alla jusqu’à me dire que deux ans d’absence de New-York m’avaient fait complètement oublier du public, et qu’en essayant de me rappeler à son souvenir, j’aurais l’air de lui raconter une vieille histoire. […] Je demandai à voir le directeur et lui racontai mon histoire.

78. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71

L’histoire de la Traine, ou des longues queües adaptées aux habits de cour devinrent un costume très gênant ; en se tournant ou s’embarrassoit les jambes, en reculant, on s’empêtroit ; la chute étoit inévitable. […] Je lui racontai l’histoire du rondeau, et je lui demandai la permission de le lui danser.

79. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287

. — Ce qu’elles savent d’histoire et de géographie. — Poulet galant. — Les Marcheuses. […] C’est elle qui l’accompagne à la leçon, et qui l’attend, après le spectacle, pour la conduire là où elle a envie d’aller : histoire de lui éviter toute espèce de mauvaises rencontres.

80. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IV. » pp. 25-31

vous voulez composer d’après l’histoire, et vous l’ignorez ; d’après les poètes, et vous ne les connoissez pas : appliquez-vous à les étudier ; que vos ballets soient des poèmes ; apprenez l’art d’en faire un beau choix.

81. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23

mon Dieu, c’est toujours l’histoire racontée — en vers — par Vermersch : Monsieur Pipelet rêve dans sa loge ; Un papillon noir vole en ses pensers ; Ses deux filles ont l’âge des baisers, Et sont toutes deux belles — sans éloge.

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