Le ROI terminant la dernière, Avec sa grâce coutumière, Avec son maintien sans égal, Il finit ce Ballet Royal.
La Ferté, qu’encore je nomme, Finit le divertissement Et conclut agréablement ; Récitant une Ode admirable, D’une façon incomparable, À l’honneur de mon POTENTAT Qui, tous les ans, avec éclat, Par un effet de sa largesse, Donne les prix à la jeunesse.
Tuttavia però se si riguarda a due sole cose, cioè al novero degli esempi, il quale essendo infinito, non si può dire veramente che s’imprendan tosto, ma deesi affermare che non si potrà mai finir d’apparargli, perché invero, contuttoché alcun vivesse più secoli e che di giorno in giorno si mandasse in memoria nuove arie e cantate di musica, pur ne gli resterebbero infinite altre da imparare, per le quali sapere vi vorrebbe una vita che mai non finisse, ed in secondo luogo, se si pone mente a’ difetti ed errori dove offendono costoro li quali, non avendo perle mani i principi e le regole di quella cotal arte, i cui esempi si mandano in memoria, del continuo corrono in fallo, senza che nemmeno se ne possano accorgere ed avvertire; si dovrà fermamente dire che non v’ha, né vi può avere, più sicura e più corta via da poter le cose sapere che, lasciati da banda gli esempi, i quali sono propri per gli infingardi ed ignoranti, s’imprendano le regole, i principi ed i precetti generali delle Scienze, e delle Arti, colli quali in un tratto s’intendono e si pongono in opera tutti gli esempli che sotto di lor vengono contenuti.
Par là, finit le premier Acte, Selon qu’en ma mémoire exacte, J’en ai le détail retenu : Et voici tout le contenu Du second, sans erreur quelconque. […] Enfin, viennent des Fagoteurs, Lesquels, en habiles Sauteurs ; Amassant leur bois, en cadence, Forment, encore, une Danse : Et le Faune qui met son nez, Aux affaires, de tous côtés, Aussi, parmi-eux, se présente, Et, les raillant, derechef, chante, Puis le beau Goguenard s’enfuit, Et, par là, cet Acte finit.
On compte dans les bras trois mouvemens de même que dans les jambes, & qui sont rélatifs l’un à l’autre : Sçavoir, celui du poignet, celui du coude, & celui de l’épaule ; mais il faut qu’ils s’accordent avec ceux des jambes, en ce que, si vous faites des demi-coupez en des tems & ouvertures de jambes, & autres pas qui se prennent plus du cou-de-pied que du genou, ce sont les poignets qui agissent, au lieu que si ce sont des pas fort pliez, comme pas de Bourée, tems de Courante, pas de Sissonne, Contretems & autres pas qui demandent du contraste ou de l’opposition, pour lors c’est le coude qui agit, ou du moins qui est le plus apparent ; parce que l’on ne doit pas plier le coude, sans que son mouvement soit accompagné de celui du poignet : ainsi du cou-de-pied & du genou, qui ne peut finir son mouvement sans que l’on soit élevé sur la pointe du pied, qui par consequent est le cou-de-pied qui l’acheve.
J’étudiai chacun de mes mouvements et finis par en compter douze. […] Lorsque j’eus fini l’étude de mes danses, je me mis en quête d’un impresario. […] Partout on me faisait la même réponse et je finis par me désespérer. […] Le directeur se rapprocha, se rapprocha encore, puis finit par monter sur le plateau. […] Lorsque j’eus fini, la salle entière était debout.
Mais on n’a jamais fini de parler d’elle, comme on n’aura jamais fini de l’admirer.
Deuxieme Figure [Légende intérieure] [en haut] en suitte vous faites chacun deux pas de menuet en avant en vous tenant la main Comme vous le voyez écrit ci dessous [en bas, verticalement de bas en haut] [à gauche] deux pas de menuet en avant pour l’homme [à droite] deux pas de menuet en avant pour la demoiselle Après que vous avez fait les reverences que l’on fait ordinairement avant de danser, la seconde étant finie, il faut faire un pas de menuet en retrogradant à la place où vous avez commencé la premiere reverence, en formant un quart de cercle, de même qu’il est figuré par 1. ce qui vous rapproche, & vous présentez la main en dessous à la Demoiselle, comme il est représenté par 2. ces deux mains démontrant que celle du Cavalier doit être en dessous, pour que la Demoiselle s’appuie dessus. […] En presentant les mains à la Demoiselle, dans le même goût que j’ai tâché d’exprimer dans ces deux Figures, & lorsque vous tenez les deux mains, vous faites un tour ou deux, mais l’homme fait un pas de Menuet en arriere, en amenant à lui la Demoiselle dont il quitte la main gauche seulement, pour en ôter du même tems son chapeau : enfin le pas du Menuet fini, l’homme porte le pied droit à côté de la deuxiéme position : & puis ils font ensemble les mêmes reverences qu’ils ont faites avant de danser.
Les Romains moins délicats, et peut-être plus ardents pour le plaisir, commencèrent d’abord par où les Grecs avaient fini.
Demonstration de l’ouverture de jambe Ainsi, si vous devez faire l’ouverture de jambe du pied gauche, il faut avoir le corps posé sur le droit à la quatriéme position, pour que la jambe qui est derriere se leve de sa position, & marche lentement en passant près de la droite, & se croisant devant en forme de demi cercle qui se finit à côté ; & cette jambe reste en l’air pour faire tel pas que votre danse le demande ; mais afin de vous en donner la démonstration dans toutes ses circonstances, je dis que lorsque la jambe gauche vient pour se croiser devant qu’elle s’étende en s’aprochant, & lorsqu’elle se croise, son genou se plie, & qu’il s’étend en terminant le demi cercle : ainsi qu’il est exprimé par cette Figure où sont écrits ces mots, demi cercle que la jambe fait.