Avendo il comun gradimento sono arrivato al fine de’ miei disegni; e con questa lusinga trovo il premio de’ miei sudori.
[4] Anticamente il replicavano due sole volte per fine di passo o riempimento di una battuta; noi il raddoppiamo quanto più si puole, e così si rende più brillante.
Il s’en fait encore d’une autre sorte de côté, en effaçant l’épaule, dont il y en a deux dans le premier couplet de l’Aimable Vainqueur, dans la Bretagne, dans la Nouvelle Forlanne, & dans plusieurs autres, & dont l’opposition ne se fait qu’à la fin du pas : par exemple, vous avez le pied gauche devant, & le bras droit opposé ; vous faites votre demi-coupé en pliant sur le pied gauche, & vous vous élevez sur le droit qui dans le même tems le bras s’étendant, vous donne la facilité d’effacer le corps, ou de vous tourner un peu de côté, & le pied gauche s’étant porté derriere, vous restez sur la pointe des deux ; ensuite vous laissez glisser le droit devant à la 4e. position, le bras gauche se plie du même tems, & s’avance aussi devant qui fait l’opposition au bras droit.
(B) Divertissement Divertissement, (Belles-Lettres.) c’est un terme générique, dont on se sert également pour désigner tous les petits poèmes mis en musique, qu’on exécute sur le théâtre ou en concert ; et les danses mêlées de chant, qu’on place quelquefois à la fin des comédies de deux actes ou d’un acte. […] Ils en dansent un commencement ; un danseur ou une danseuse danse un commencement et une fin, et les chœurs reprennent la dernière fin.
Vers la fin du xviiie siècle, la danse française jouissait d’un prestige universel. […] À la fin, l’un d’eux, se servant d’un tronc comme d’une massue, assommait ceux qui semblaient devoir ravir la pomme. […] À la fin elle croit plus efficace de recourir à la déesse et la supplie de la délivrer de cet amour coupable… Tandis qu’elle descend les marches de l’autel sur lesquelles elle a prié, une vision lui représente les traits de Décius. […] Il en sortait une épaisse vapeur qui mettait fin à l’éternel printemps. […] À la fin, les Titans sont foudroyés et l’on assiste au triomphe de Jupiter.
L’œil le plus fin ne s’apercevrait pas de la supercherie, si le tapissier n’eût oublié de prendre ses mesures un peu plus justes, et de ne pas faire la jambe droite plus épaisse que la gauche ; si la gorge, trop élevée, ne faisait soupçonner un estomac en bourre de soie, et si la tunique couleur de chair, s’entr’ouvrant par l’essor des ossements, ne laissait parfois échapper quelques flocons d’une substance qui ne pousse pas sur le corps féminin, mais bien sur le dos d’un être doux et innocent, appelé communément mouton. […] Le jour de ses débuts, le docteur Véron la trouva en train de nager dans les sanglots… Il interroge, — on se tait, — il s’alarme… A la fin, madame Duvernay mère entreprend de le rassurer : — Je vais tout vous avouer. […] *** Il fallait — pourtant — faire une fin. […] quelle fin ! […] Toujours est-il, d’après lui, que bonbons à ses camarades, montres à ses compositeurs, broches ou camées à ses professeurs du beau sexe, souvenirs encadrés de rubis, remerciements montés en or fin, mademoiselle Emma Livry distribue tout cela avec le laisser-aller de cette bonne femme des Contes de Perrault qui ne pouvait ouvrir la bouche sans qu’il en tombât tout le magasin de Froment-Meurice ou de Fontana.
À la fin de chaque Psaume, ils substituaient au Gloria Patri ce verset qu’ils chantaient avec les plus vifs transports de zèle et de joie : San Marceau pregas per nous, et nous espingaren per bous.
On me dira qu’il n’apartient pas à tout le monde de faire des liures, qu’il ne faut pas mettre au iour ses fantasies mal à propos, & qu’auant que les coucher à la presse il les faut esprouuer, & sans effronterie sonder si on aura autant d’asseurance que le papier : en fin que ceux qui postposent toute autre consideration à celle de se faire cognoistre ce n’est pas merueilles s’ils sont cogneus à leur desaduantage, & si la bonne opinion qu’on auoit de leur esprit s’est alterée quand on l’a veu marqué d’ancre.
Brune aux yeux noirs que les sourcils surmontent en arcs altiers, aux bras élégants, longs, un peu secs, au port de corps royal, voire un peu rigide, aux jambes fines quoique musclées, cette jeune fille apparaît être de la même matière dont sont faites ces Italiennes : une Ferraris jadis, une Zambelli de nos jours.
Elle n’est point assujétie à la règle des unités, mais elle doit avoir, comme tout ouvrage des arts, un commencement, un milieu et une fin.