Mas Jodjana, fils d’un haut et puissant seigneur de son pays, fut — éducation de prince — instruit, dès l’âge de douze ans, dans l’art de la danse.
155 Son Fils, nommé le Dieu d’Amour, Qui là, devient Homme en un jour, Pour mieux contanter son Amante, Savoir Psiché, toute charmante, Est, comme Enfant, représenté, Par un, lequel, en vérité, S’acquitte, à miracle, du Rôle De ce petit céleste Drôle : Et comme Homme fait, et formé, Par ce jeune Acteur, tant aimé, Qui par tout, le Baron se nomme, Et lequel, des mieux, joue, en somme.
Un jour un Pantomime d’une trop petite taille entra sur la scène, pour représenter Hector : Voilà le Fils, s’écria la multitude, où est donc le Père ?
Le fils de Vénus, par un sentiment qui lui est inconnu, aime les trois Arcadiennes, sans malice, sans méchanceté, comme si elles étoient ses sœurs, et ces filles charmantes qui réunissent ce qu’ont de divin, la beauté simple, l’innocence naïve, la gaité modeste et la douce sérénité, prodiguent leurs caresses à l’Amour, comme si elles pressentoient à leur tour que ce dieu est leur frère. […] Ces deux êtres nouveaux se prosternent aux pieds de l’Amour, pour lui témoigner leur reconnoissance, et les trois Arcadiennes, enchantées de ce qui vient d’arriver, ne regardent le fils de Vénus que comme un dieu bienfaisant. […] Un bois de roses naissantes s’élève sous les pas du fils de Vénus et des trois immortelles et leur fraye une route de fleur qui les conduit à la cour céleste.
Un peu plus tard, après le chœur des démons, mugi dans la coulisse, un rideau de manœuvre sortait des dessous et s’enlevait vers les cintres au moyen de fils de fer assez nombreux. Tout à coup, plusieurs de ces fils se rompirent et le rideau pesant s’abattit sur l’avant-scène. […] *** … Cependant, la ballerine avait accepté les hommages — intéressés — du fils d’un pair de France, le comte Gilbert des Voisins. […] Fanny Elssler Le directeur Véron à Londres. — M. de Gentz. — Le Fils de l’Homme. — Une légende démentie. — Engagement. — La Tempête. — A la recherche des tuyaux de gaz. — Une nouvelle école. — Le Diable boiteux. — Danses espagnoles. — Vers de Roger de Beauvoir. — La cachucha sur tous les théâtres. — Danses hongroises. — La grande sœur. — Sa chère fille ! […] En ce temps-là, le Fils de l’Hommeétait à la mode.
. — La statuette de Fanny par Barre fils. — Popularité de la cachucha. — Rentrée de Fanny dans le Diable boiteux. — Adieux de Marie Taglioni. — Nourrit et Duprez. — Les sœurs Elssler à Vienne en août 1837. — Les feuilletons de Théophile Gautier sur Fanny. — La Chatte métamorphosée en femme. — Premier portrait de Fanny par Th.
Kawakami a un fils qui avait cinq ans lorsque je le vis pour la première fois.
Dans ce gobelin à sujet galant et champêtre, l’humour vient à tout instant mêler ses fils d’or à la trame colorée de l’action.
Il est parfait pour elle, il est le meilleur des fils.
Tous les vices des fils de Caïn se dissipent au souffle de ses lèvres, et le poète qui avait maudit la mime s’écrie maintenant : « Malheureux le cœur qui ne te comprend pas et ne t’aime pas ! […] « A présent, s’écrie-t-il dans une ode aux Italiens, Agl’ Italiani, les fils s’empoisonnent avec le chant tout-puissant et le docile glissement des mouvements qui l’accompagnent et sur leurs descendants retombera comme une honte la gloire d’Elssler148 ». […] Le fils de celui-ci, le prince Charles-Frédéric, connu sous le sobriquet du « lansquenet », fréquenta très assidument jusqu’en 1870, année de sa mort, le salon de Fanny. […] La perte d’un fils qui mourut en Egypte lui brisa le cœur. […] Son fils fut blessé à la bataille de Frœschwiller et disparut dans le désarroi de la défaite.