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135. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Défense expresse était faite à toute personne, même à celles qui faisaient partie de la maison du roi, d’entrer à l’Opéra sans payer ; défense à la livrée d’y entrer, même en payant ; défense de stationner dans les coulisses ; défense de s’avancer sur le théâtre hors de l’enceinte de la balustrade.

136. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Il est le dieu du matérialisme et son regard, qui insulte l’esprit, m’est souvent entré comme un coup de couteau dans le cœur, lorsque je le rencontrais ; il m’a semblé maintes fois que de ses yeux sortait une masse rampante de petits vers, gluants et brillants29. » Barbey d’Aurevilly flétrissait « le lépreux de la cité de Paris, le scrophuleux (sic) docteur Véron30 ».

137. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

L’aîné des enfants, Joseph, né en 1800, entra, à l’âge de vingt-trois ans, dans l’ordre des Franciscains et prit le nom de Frère Pacifique.

138. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

Le directeur, Laporte, parut et annonça que Mlle Taglioni refusait d’entrer en scène.

139. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96

L’œil du maître est un point nécessaire ; il doit entrer dans tous les détails.

140. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194

L’œil du Maître est un point nécessaire, il doit entrer dans tous les détails.

141. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Sanquirico entra entièrement dans ses vues et exécuta pour lui d’étonnants décors qui comptent parmi les plus beaux de l’art scénographique dans tous les temps.

142. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Eh bien, Fanny Elssler osa, dans le Diable boiteux, entrer en scène avec un peigne d’écaille à galerie découpée, une mantille piquée par deux roses dans les cheveux, une basquine frangée de pompons, et un jupon relevé de passequilles !

143. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Elle entra en effet en pourparlers avec Duponchel ; ses débuts furent annoncés, mais n’eurent pas lieu.

144. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Ce racontar est né de ce fait que l’on a vu plusieurs fois son chasseur entrer dans la maison où habitait Fanny.

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