A l’égard des Dames, elles ne doivent pas tant les sauter, il suffit qu’elles en prennent le tems en pliant, & qu’en se relevant elles se laissent tomber sur l’autre pied que celui qui a plié : par consequent lorsque vous dansez avec une Demoiselle, & qu’il se trouve des Jettés ou autres pas sautez, il les faut prendre modérément, afin de conserver cet accord d’un sexe avec l’autre ; ce qui est une des parties essentielles à laquelle ont doit se conformer.
Les grandes dames avaient des tendresses pour ces artistes. […] Cette dame n’a point d’histoire. […] Louise, consolée de ses récentes peines de cœur par une liaison avec un Anglais colossalement riche, avait fait entrer dans sa maison la dame de compagnie d’une haute et noble lady qui venait de mourir. […] Elle eut plus de deux millions de rentes, se fit une place dans la haute société anglaise et garda sa dame de compagnie. […] Pour beaucoup de ces dames, la danse n’était qu’un moyen de paraître en public, dans cette lumière spéciale de l’Opéra qui donne du prestige aux plus insignifiantes créatures.
Non, j’en conviens, chez ces dames du corps de ballet, mais chez l’artiste qui chantait Lescaut.
Révérence de deux personnes se rencontrant dans la rue ou sur un chemin Lorsqu’une demoiselle rencontrera dans la rue quelqu’un qu’elle voudra saluer, si c’est une personne dont on ne diffère aucunement, soit par l’âge soit par la condition, et que l’on ne veuille pas s’arrêter, étant près de la personne qu’elle veut saluer, elle portera le pied droit à la deuxième position, et rapprochant de suite le pied gauche à la première position, elle fera la révérence, et si c’est un jeune homme, il fera sa révérence de même, ôtant son chapeau de la main droite, et laissant tomber son bras tendu sur le côté ; il aura l’attention de céder le haut du pavé à la personne qu’il voudra saluer, supposé que ce soit une dame ou une demoiselle : s’il veut s’arrêter, il ira droit à elle, en la saluant de manière ordinaire ; et, ayant fini la conversation, il portera son pied droit à la deuxième position, [puis] rapprochant son pied gauche à la première position, il fera la révérence : si la personne diffère soit par l’âge, soit par la condition, soit par le sexe, il aura soin de donner le haut de la rue, et de prévenir par sa révérence la personne qu’il voudra saluer.
Les Dames n’ont pas les mêmes embarras que les Messieurs pour faire leurs reverences ; il suffit qu’elles se presentent bien, qu’elles portent les pieds en dehors, les glissent à propos, plient les genoux également, & qu’elles tiennent la tête droite, le corps ferme & les bras bien placez, comme cette Figure ci-devant le represente, ce qui est le plus essentiel.
Vous voulez me présenter à l’auteur de la Dame aux Camélias ? […] Poulle pour interprète, nous parlions de la Dame aux Camélias et du Demi-Monde et de l’immoralité des femmes qui le composent.
cette dame n’a pas d’effets. […] cette dame a beaucoup d’effets. […] — Oui, disent les dames, nous témoignons. […] Par une double fatalité, la voiture de la Lorette s’étant brisée à la barrière, la dame revient à Paris, et, sans rentrer chez elle, va au spectacle. […] On concédait gratuitement, pour six mois, un apparpartement complet aux dames assez intrépides pour risquer les rhumatismes produits par les pleurs du plâtre.
E questo ammonimento, il quale è assai utile a’ Cavalieri, massimamente a coloro che sono troppo grandi della persona, è necessarissimo alle Dame, alle quali in niun modo è lecito saltare nel Ballo nobile.
Sur ce, le critique de Comœdia offre une cordiale poignée de main au directeur de la maison de danse et à son vaillant état-major ; il prie également toutes ces dames et tous ces messieurs d’agréer l’expression de son admiration et de sa sympathie pour la troupe qu’il croit destinée à rétablir, dans toute sa gloire, le Ballet français.
Les Dames les plus belles battent des mains.