Somme toute, je préfère le second acte mimé par elle avec un humour charmant et dansé avec un sens très juste du grotesque.
La Pucelle de Saint-Simon, Fille d’un Duc, de grand renom, Et d’une Mère fort charmante, Fille, dont la beauté naissante, Se rend digne, de jour en jour, D’admiration et d’amour, Fille, enfin, le rare modèle D’une âme si noble et si belle, Qu’on peut nommer l’âme et le corps, Deux incomparables trésors.
Mais ajoutons, encore, ici, Pour la Pucelle du Croisi, Deux ou trois petits mots d’Histoire, Qui font le comble de sa gloire : À savoir, ô charmant Héros !
Je n’ai pu résister au plaisir de rappeler ma rencontre avec cette femme extraordinaire et charmante.
Nous étions chez Rachel Boyer, la charmante sociétaire de la Comédie-Française, qui m’avait invitée, chez elle, à une matinée. […] Rachel Boyer est un être charmant.
Cela n’empêche point que tels « scherzi » du divertissement final — Le petit chat blanc peut-être aient bien des chances d’être appréciés — grâce à leurs jeux harmoniques divers et l’invention mélodique toujours en éveil — comme de charmants exemples de « l’humour » musical. […] Avec sa petite tête aux traits charmants et tristes, elle ressemble à une vignette de Célestin Nanteuil.
Il n’y a pas de livre allemand sur la danse — sauf celui du charmant Oscar Bie — qui ne lui consacre mainte page enthousiaste et qui ne donne la reproduction de ses costumes et de ses attitudes.
Ô le charmant Lieu que c’était !
Il suffit de constater que la plupart de ses opinions sur le ballet et les danseuses sont établies sur l’antithèse des deux espèces-types de la danse : la danse voluptueuse et robuste, faite de beauté plastique et d’émotion passionnée incarnée par Fanny et la danse dans sa perfection abstraite, idéalisée et exsangue de la Taglioni, « cet autre ange charmant de cieux imaginaires » (Banville). […] « Vous peindre cette danse », avoue Théophile Gautier après avoir décrit avec verve le costume de Fanny, « est une chose impossible : c’est une précision rythmique mêlée d’un abandon charmant, une prestesse nerveuse et sautillante dont on ne peut se faire une idée ; le babil métallique des éperons, espèce de castagnettes talonnières, accentue nettement chaque pas et donne à la danse un caractère de vivacité joyeuse tout à fait irrésistible ! […] Et cette même indécision se remarque dans le caractère du sexe : ses hanches sont peu développées, sa poitrine ne va pas au-delà des rondeurs de l’hermaphrodite antique ; comme elle est une très charmante femme, elle serait le plus charmant garçon du monde. » Sur quelques avis savants sur la coiffure et le sourire s’achève ce portrait qui nous paraît un document iconographique aussi peu négligeable que les lithographies de Grèvedon ou de Jentsen.
Lancée en l’air par son danseur, elle « jette » en tournant avec une légèreté charmante ; et puis elle pique franchement de la pointe.