[…] J’avais pensé, dans cette Épître, Tracer un simple et beau Chapitre Du BALLET de notre HÉROS ; Mais, en dussé-je avoir à dos Les Lecteurs de mes Écritures, Je n’ai pas bien pris mes mesures, Et, mon Papier se trouvant plein, Ce sera pour le Jour prochain.
Chapitre X. […] C’est ce qui fait le sujet de ce Chapitre, qui enseigne la maniere de l’ôter & de le remettre, afin de prévenir les défauts dans lesquels on tombe en l’un & en l’autre faute d’attention.
Robinet, lettre du 18 août 1668 Comme chacun, à leur exemple (Que toute la Ville contemple), De se signaler est ravi, C’est ce qu’on a fait à l’envi, Et j’en fis en mon autre Épître Un assez spacieux Chapitre ; Mais, vraiment, les COMÉDIENS, Tant les Français qu’Italiens, Ont, depuis, témoigné leur zèle De façon si noble et si belle, Et sans aucun égard aux frais, (Car on en fait, je vous promets, Dedans une Rencontre telle, Tant en violons qu’en chandelle) ; Ils ont, dis-je, d’un si bel air Leur affection fait briller, Donnant GRATIS la Comédie À quiconque en avait envie, Et c’est-à-dire à tout Paris, Qui la voulut voir à ce prix, Qu’ils méritent bien que l’Histoire En conserve aussi la mémoire.
Robinet, lettre du 8 septembre 1668 Nos COMIQUES ITALIENS, Toujours de risibles Chrétiens, Et féconds en Pièces nouvelles, Qui sont magnifiques et belles, En ont une sur le Tapis (C’est sur la Scène que je dis), Qui ne doit rien à ses Aînées, Qu’en leur temps j’ai si bien prônées, Soit pour les changements divers, Pour les Ballets, pour les Concerts, Les Jardins les Architectures, Les Perspectives, les Peintures Et les risibles Incidents, Qui, sans fin, font montrer les Dents Et rire à gorge déployée ; Car toute la Troupe enjouée Y fait des MIRABILIA, Hors la charmante OLARIA, Qui n’a nul rôle en cette Pièce, Féconde Source de Liesse, Et dont le Titre, en quatre mots, Est : LES REMÈDES À TOUS MAUX, Dont j’espère, en quelque autre Épître, Faire un plus digne et grand Chapitre.
Chapitre V.
Chapitre troisième. […] Les mouvements des jambes, comme l’apprend le chapitre précédent, doivent nécessairement participer de cet ensemble harmonieux.
Chapitre VI.
[voir Traité historique, Ire partie, livre I, chap. 7, De la Danse sacrée des Juifs »] La danse sacrée telle qu’on vient de l’expliquer, et qu’on la trouve établie chez le peuple Hébreu dans les temps les plus reculés, passa sans doute avec les notions imparfaites de la divinité chez tous les autres peuples de la terre. […] [voir Traité historique, Ire partie, livre I, chap. 8, « De la Danse sacrée des Égyptiens »] Il est aisé de se convaincre par ce trait d’histoire de l’antiquité des superstitions égyptiennes, puisqu’elles subsistaient longtemps avant la sortie du peuple Juif de l’Egypte. […] [voir Traité historique, Ire partie, livre I, chap. 10, « De la Danse sacrée des Chrétiens »] C’est de la religion des Hébreux, de celle des Chrétiens, et du Paganisme, que Mahomet a tiré les rêveries de la sienne. […] Voyez Moulinet [Article non rédigé], Traité histoire de la danse, Ière partie, livre I, chap. 12, « De la danse sacrée des Turcs ». […] II. chap.
Chapitre III.
Chapitre VI.