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77. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89

II Soyez donc assez bon, cher lecteur, pour me suivre dans cette oasis aristocratique, vous n’aurez pas besoin de payer votre place, mes cavaliers ont leur entrée.

78. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105

A quatre heures et demie, le besoin d’éteindre le gaz et d’aller se coucher se fit sentir dans le cœur du professeur.

79. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-

nous n’en avons pas besoin.

80. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-

Est-il besoin de dire que, les yeux tout pleins de l’image de l’autre, je ne pouvais supporter les assiduités de l’importun.

81. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 11 décembre. La querelle des Anciens et des Modernes. Le procès de Miss Duncan. — Les têtes de l’hydre. — Chopin chez la Goulue. — Mon courrier. »

Ses élèves et imitatrices, sont innombrables ; pour la suivre on n’a même pas besoin d’audace !

82. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

Fanny Elssler est grande, bien prise et bien cambrée ; ses jambes sont tournées comme celles de la Diane chasseresse : la force n’y altère en rien la grâce ; la tête, petite comme celle d’une statue antique, s’unit par des lignes nobles et pures à des épaules satinées qui n’ont pas besoin de la poudre de riz pour être blanches ; ses yeux ont une expression de volupté malicieuse extrêmement piquante, à laquelle ajoute encore le sourire un peu ironique de la bouche arquée à ses coins. […] On ne sait jusqu’où cela pourrait aller, si la sonnette du régisseur, dominant le tumulte de sa voix perçante, ne calmait soudain l’effervescence générale, en forçant chacun de se rendre à son poste. — Ce qu’est devenue pendant cette scène la pauvre Paquita, est-il besoin de le dire ? […] Asmodée, voyant l’écolier corrigé par cette dure leçon, lui rend son amitié, et lui donne une clochette magique pour l’évoquer, s’il a jamais besoin de ses services.

83. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Il y avait là des bras mobiles qui lui avançaient l’encre et les plumes, quand il en avait besoin, un pupitre qui se déplaçait automatiquement dans tous les sens ; je crois que même le vase de nuit, par une pression sur un bouton, venait offrir ses services. […] Ce n’est pas avec ses appointements de fonctionnaire à Berlin, ni avec les 4 000 florins touchés à Vienne, qu’il pouvait faire face à ses énormes besoins d’argent. […] Il éprouve le besoin de savoir ce que ses amis pensent de son cas. […] Ce jour-là, quoiqu’il l’ait vue longuement la veille, il ne peut résister au besoin de lui écrire ; il lui dit : « Ma bien-aimée ! […] Il est impossible d’avoir un moindre besoin d’émotion qu’elle qui se sentait véritablement angoissée par toute violence, toute fougue impétueuse.

84. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »

L’opéra italien a besoin d’entractes ; on les nomme en Italie intermezzi, intermèdes. […] aurait-on besoin de ce malheureux secours dans un opéra qu’un intérêt suivi ou qu’une variété agréable soutiendraient réellement?

85. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185

. — Le Manuel des amoureux, leçons dont le besoin se faisait généralement sentir. — Première leçon : Qu’est-ce qu’on entend par ces mots : faire la cour ? 

86. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231

— Eh bien, dit-il, voilà les propres paroles de la mère dès que nous fûmes dans le train : « Maintenant qu’elle vous a lancée, vous n’avez plus besoin d’elle. » Ce à quoi l’autre répondit : « Mais je n’ai pas la moindre envie de retourner auprès de Loïe. » Quand ces dames durent revenir à Budapest elles laissèrent partir le chef d’orchestre sans le charger d’un seul mot pour moi.

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