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67. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145

L’émotion la plus vive demeurait empreinte sur la petite figure de l’enfant. […] Mon souvenir, ou plutôt le souvenir de mes danses, demeurait si vif en lui, résumait si bien l’idée qu’il se faisait de la beauté et de l’art qu’il en devint « poète ».

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