C. sont au contraire salutaires et vivifiantes, parce qu’en y conformant sa vie, on vit de son esprit, et qu’on mérite par là de vivre un jour éternellement avec lui dans sa gloire. Ce que le monde dit, tend à rendre ici-bas la vie plus agréable et plus commodé ; mais c’est pour la lui rendre éternellement malheureuse après la mort. […] Si nous savons nous aimer nous-mêmes, ne nous mettrons-nous pas plutôt en peine de ce qui peut nous être utile pour la vie future, qui ne doit jamais finir, que de ce qui peut nous faire plaisir en cette vie qui est si courte ? […] Que deviennent à la mort les plaisirs dont on a joui pendant la vie ? […] Mon fils, souvenez-vous que vous avez reçu vos biens pendant votre vie.