J’arrivai à Vienne avec ma troupe japonaise, Sada Yacco en tête. […] Ma danseuse répondit textuellement par un télégramme ainsi libellé : « Seulement si vous déposez dix mille francs dans une banque de Vienne avant demain matin neuf heures. » Ce procédé était d’autant plus cruel qu’elle savait que je venais de perdre plus de cent mille francs du fait d’un directeur viennois qui avait rompu son contrat avec ma troupe japonaise.