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60. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

En offrant à mes yeux le plus parfait ensemble, Cachez-moi le travail ; que rien ne se ressemble. […] Je sais qu’un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime : &c. […] Le talent, quel qu’il soit, peut sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime. […] La deuxième peut s’acquérir par le travail et l’attention, guidés par le bon goût. […] Plusieurs jeunes danseurs et danseuses se sont énervés par un trop grand travail ; la jeune Chameroy, entre autres, belle, grande, bien faite et d’un talent parfait, a succombé en 1803, à la fleur de son âge, aux violens exercices de la Danse.

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