Là Perrot prouva de nouveau qu’en un siècle où les préférences allaient aux danseuses, un danseur pouvait se tailler une part encore assez belle, et la réputation qu’il se fit le consola certainement un peu le jour où, vaincu par sa laideur, il vit sa femme le quitter pour un poète aux traits olympiens, à la crinière de lion, Théophile Gautier.