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1. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458

Cette machine, qui est de l’invention du marquis de Sourdéac, a été adoptée par tous les théâtres de Paris. […] La partie du cintre qui est la plus près du théâtre, n’est composée que de planches qui tiennent l’une à l’autre par des charnières : on la lève pour aider le passage des vols qui se font du milieu du théâtre ou de sa partie la plus éloignée, et qui vont se perdre dans le cintre. […] La toile qui ferme le théâtre, se perd dans le cintre lorsqu’on la lève. […] Au théâtre de l’Opéra de Paris, il n’y a que six coulisses ou châssis de chaque côté du théâtre; par conséquent il n’y a jamais que les six premiers châssis de chaque côté qui changent par le moyen du contrepoids. […] La ferme au théâtre de l’Opéra de Paris, se place pour l’ordinaire après le sixième châssis : elle est partagée en deux.

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