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132. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Le lendemain, le quatrain suivant courait Paris et, rappelant une des situations principales de l’ouvrage, celle où la Sylphide, prise avec son amant dans les plis d’un voile enchanté, voit tomber à ses pieds les ailes dont la perte entraîne sa mort, — constatait ainsi le succès de mademoiselle Taglioni : Pourquoi ce long regard sur vos ailes perdues, O Sylphide aux souris caressants et vermeils ? […] On avait affiché la Sylphide pour la semaine suivante.

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