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59. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Il passait dans les tripots des nuits terribles d’où il sortait ravagé par les émotions, anéanti par ses pertes, accablé de reproches qu’il s’adressait à lui-même et qui ne l’empêchaient pas de reprendre, dès le soir suivant, sa place autour du tapis vert. […] Venez ce soir au ballet et vous verrez combien elle est belle ! […] Le soir sa bonne humeur avait mis en fête le salon du prince. […] « Hier soir, écrit-il un autre jour à la même, j’étais à demi-mort. […] Gentz a passé une mauvaise nuit, ce dont il accuse un « noble breuvage » que Fanny lui a préparé la veille au soir.

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