XIV la princesse marie C’était le soir de mes débuts, à Bucarest. […] Le soir où je dansai au palais, je crus que la Princesse serait seule, car nous avions entendu, comme je l’ai expliqué dans le chapitre précédent, que ses enfants n’assisteraient pas à ma représentation. […] rien ne vaut le cher foyer. » Je venais de danser, ce soir-là, « l’Ave Maria » de Gounod, des danses de bacchantes, d’autres danses encore réglées sur les phrases lentes des concertos de Mendelssohn, pour les danses de la mort, et sur la Marche funèbre de Chopin, pour les danses des funérailles.