« Si, selon les lumières de la sagesse du siècle, l’ivresse ou la folie sont le principe de la danse, qu’en doit on penser selon les Ecritures, où ce qu’on lit de saint Jean-Baptiste, précurseur de Jésus-Christ, mis à mort selon le désir et la demande d’une danseuse, fait voir quelles funestes suites le plaisir criminel de la danse entraîne après lui ? […] Est-il étonnant que, connoissant si peu les divines beautés de notre sainte Religion, et ce qu’elle a d’intéressant pour le cœur, on n’ait de goût que pour la vanité du siècle et pour ses dangereux plaisirs ?