Mortemar, cet Ange visible Qui toucherait le moins sensible, Qu’on ne peut voir sans soupirer, Ni, mêmement, sans l’adorer, À qui tout cœur doit rendre hommage, Et dont l’angélique visage, Fait, sans cesse, des amoureux, Mais n’en fera qu’un seul heureux.