Varnhagen von Ense, le mari de Rahel, loin d’être choqué de ces lettres qui détaillaient à sa femme les joies et les souffrances d’un sexagénaire amoureux, les comparait aux Elégies romaines de Gœthe.
Varnhagen von Ense, le mari de Rahel, loin d’être choqué de ces lettres qui détaillaient à sa femme les joies et les souffrances d’un sexagénaire amoureux, les comparait aux Elégies romaines de Gœthe.