L e costume, Monsieur, dont je n’ai parlé que superficiellement, me paroit trop essentiel au charme de la scène, pour que je ne revienne pas sur cet objet. […] Je pourrois ajouter à ce fait mille autres circonstances aussi affligeantes pour l’art que pour l’artiste ; mais l’histoire de la sottise ne pouvant intéresser les gens d’ésprit, je reviens au costume, comme à la partie la plus intéressante de la scène.