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51. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458

Ce point une fois décidé, on croit que le reste regarde le décorateur, et qu’il n’est question que de peindre mécaniquement les locaux, pour établir aux yeux du spectateur le lieu où se passe la scène. Ce qui nous reste des ouvrages dramatiques des Grecs, montre assez qu’Eschyle, Euripide et Sophocle étaient mieux instruits, et mettaient une plus grande importance dans tout ce qui avait quelque rapport à la représentation de leurs tragédies. […] A la hauteur de huit pieds, la moitié du faux-châssis est formée en échelle ; et l’autre moitié reste vide.

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