Ceux-ci, échappés au syncrétisme wagnérien, qui était au fond un attentat de la musique à s’emparer de la toute-puissance, reprennent conscience d’eux-mêmes. Et la danse, qui n’est plus dominée, ni par le musicien, ni par le peintre de décors, ni par le poète, peut souffler un peu avant de reprendre son élan.