Le peu d’êtres estimables que l’on peut compter en Europe, et regarder comme les souverains juges des productions des arts, tremblent sur les suites funestes de la guerre que la mode a déclarée au bon goût. […] Les peintres prétendent que l’Arabesque doit sa naissance au délire ; et ils le regardent comme un enfant-trouvé de l’art.