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1. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre II » pp. 16-26

Son regard m’attirait ; j’étais convaincue qu’il devait briller dans l’obscurité. […] Prosper, sans s’inquiéter de mon ébahissement, posa la pendule sur la cheminée, mit la clef sous le socle et sortit en me lançant un regard chauffé à blanc. […] Je mélangeai si bien regard et pendule, qu’un matin je me surpris me livrant au petit travail suivant. […] C’est qu’aussi il avait un drôle de regard, ce vieux-là.

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