Trois ans plus tard, madame Rosati, qui, comme Cerrito, prenait sur l’affiche la qualité de madame, — contrairement à toutes les traditions du corps de ballet, où il n’y a que des demoiselles, — madame Rosati, dis-je, nous revenait dans Jovita, de Mazillier et Delabarre, et elle y allait alle stelle. Elle jouait ensuite — et je souligne le mot — le Corsaire et la Fonti, où elle témoignait des plus éminentes qualités dramatiques.