Le ballet, dans quelque genre qu’il soit, doit avoir suivant Aristote, ainsi que la poèsie, deux parties différentes, qu’il nomme partie de qualité et partie de quantité. […] Sa matière, est le sujet que l’on veut représenter, sa forme, est le tour ingénieux qu’on lui donne, et sa figure se prend des differentes parties qui le composent : la forme constitue donc les parties de qualité, et l’étendue, celles de quantité.