C’est donc manquer tout à la fois à ce qu’on doit à Dieu, et aux princes dont la puissance est une image et une émanation de la sienne, que de permettre, et, ce qui est encore pis, d’autoriser ces danses, et d’y aller, lorsque par la négligence de ceux qui ont le pouvoir de les empêcher, elles ont lieu dans une paroisse ; et cependant Jésus-Christ nous dit expressément : (Matth. c. 22, v. 21.)