— Comment t’y prendras-tu ? […] Je ne pouvais ni parler, ni presque respirer, à peine pouvais-je prendre sur moi de la régarder. […] Bientôt après, elle apparut dans le grand atelier, me prit dans ses bras, et appuya un baiser sur chacune de mes joues : Tout cela fut si simple, si naturel… et si extraordinaire. […] Il serra la main de mon idole, la mienne, et prit congé. […] Elle me prit dans ses bras, et m’appela son trésor.