Trilby, c’est le chant du poète ; la Sylphide, c’est le cadre du tableau ; mademoiselle Taglioni, c’est la poésie, c’est l’image, c’est l’idéal. […] Le poème de Nodier, ce gai Trilby, il faut y croire et surtout quand une belle jeune fille de vingt ans viendra prêter, à cette histoire, la grâce et la poésie de sa bienfaisante jeunesse.