Une des satires les plus divertissantes est la parodie d’une orientale de Victor Hugo, où Théodore de Banville substitue Véron à Sarah la baigneuse : Véron tout plein d’insolence Se balance, Aussi ventru qu’un tonneau Au-dessus d’un bain de siège, O Barège, Plein jusqu’au bord de ton eau. […] La décoration, pleine de richesse, donnait, par sa plantation, le moyen de placer beaucoup de monde sur le théâtre ; un très grand nombre de lustres garnis de bougies répandaient des flots de lumière.