Or, ce sont des plaisirs du monde, que nous ne pouvons aucunement approuver. » chapitre III. […] Mais ce sur quoi ils insistent comme étant le comble du mal dans les danses, c’est que les hommes et les femmes s’y trouvent ensemble pour s’y donner réciproquement du plaisir. […] Et vouloir acheter nos plaisirs avec de telles pertes et de tels dommages, même de nos ames, ce ne seroit pas agir prudemment. […] Mais plutôt que ne gagnons-nous pas en nous privant d’un fol et vain plaisir ? […] Laissons ce que Dieu condamne, soyons prudens pour obtenir les progrès de notre salut : fuyons les lieux de pécher et leurs attraits ; renonçons au monde, foulons aux pieds tous ses vains plaisirs.