Cependant, je suppose pour un moment, ce que j’ai bien de la peine à croire, que jamais on n’ait souffert aucun préjudice ni aucun dommage spirituel de la fréquentation des danses.
Cependant, je suppose pour un moment, ce que j’ai bien de la peine à croire, que jamais on n’ait souffert aucun préjudice ni aucun dommage spirituel de la fréquentation des danses.