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42. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -

Je ne prétends point publier un traité complet d’orchestographie2 ; j’entreprends seulement d’établir et de développer quelques principes certains, quelques règles infaillibles d’un art utile et aimable, l’un des premiers ornemens de la société, et qui fait, pour ainsi dire, partie de l’éducation nationale. […] On ne vit plus que cette partie matérielle qui défigurait un art plein de grâces et de charmes : on se tourna alors vers la danse de théâtre, et l’on s’en occupa entièrement, comme du seul moyen nécessaire pour briller en société. […] C’est à la danse que la jeunesse doit cette souplesse dans toutes les parties du corps, cette légèreté dans tous les mouvemens qui se font si bien sentir encore dans un âge avancé.

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