C’est qu’elles apportent une attention particulière à l’exercice ; qu’elles savent qu’une contorsion enlaidit la figure, et change le caractère de la physionomie ; c’est qu’elles sentent que l’ame se déploie sur le visage, qu’elle se peint dans les yeux, qu’elle anime les traits ; c’est qu’elles sont persuadées enfin que la physionomie est, ainsi que je l’ai dit, la partie de nous-même où toute l’expression se rassemble, et qu’elle est le miroir fidèle de nos sentimens, de nos mouvemens et de nos affections.