J’observerai que dans cet ouvrage lorsqu’il est question de monsieur Vestris, je parle toujours (excepté dans la note (I), p. 79, où je cite son père), de M. Auguste Vestris, à qui nous ne pouvons encore comparer aucun danseur, et que les Français regrettent de ne plus voir sur leur théâtre, de ce danseur que son père, qui ne connaissait dans l’Europe que trois grands hommes, Lui, Frédéric et Voltaire, appelait le Dieu de la danse.