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140. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

J’ose me flatter que cette démarche, dans un but si louable, sera comprise et que je me féliciterai autant que je suis heureux de saisir cette occasion de vous rendre visite. […] S’il fredonne : Vos pieds dans le satin N’osent fouler l’herbette, La Lorette s’écrie : Alfred ou Gustave, je vais tout à l’heure te fouler quelque chose ; et elle lance immédiatement au chanteur un coup de tibia dans ce que Paul de Kock nomme, dans ses jours de chasteté, — le fémur.

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