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29. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXII, gab » pp. 250-

Cette matinée devait impressionner Gab à un point tel que, rentrée chez elle, cette gamine de quatorze ans écrivit, en mon honneur, les lignes suivantes : « Une ombre lumineuse et légère. […] La vie bat en sa chair transparente et ses feuilles claires s’échevèlent dans l’ombre telles de grands bras tourmentés.

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